Sa compagne, libraire appréciée (chez Tschann) et lectrice de poésie, nous a confié certains de ces écrits et nous avons décidé de poursuivre notre travail avec cet étonnant manuscrit intitulé Dimanches, un dimanche. « Dans la poésie de Baudry, nous accédons à une sorte de fraîcheur native que l’on pourrait presque qualifier de reverdyenne s’il fallait chercher des parentés. » J. Lèbre