Hommage à la poésie du Moyen Âge.
Suivre le cerf, c’est parcourir la forêt intime où de fuyantes images laissent parfois, comme toute poésie, une empreinte durable, ainsi qu’il le dit lui-même, comme « l’os de [son] cœur, dur autant qu’une étoile ».
Un recueil qui résonne longtemps.
Lire l’intégralité de l’article critique d’Étienne Faure, dans CCP/ Cahier Critique de Poésie : https://cahiercritiquedepoesie.fr/ccp-29-3/claire-malroux-dits-du-cerf-de-quelques-biches