« Pressenti par une station locale à vocation impertinente, je devais confier à des auditeurs l’humeur où me plonge la lecture des journaux. Patatras ! L’émission ne dépassa pas le stade des louables intentions. Chroniqueur sans emploi, j’avais toutefois pris goût à la rédaction de quelques paragraphes élaborés dans la fièvre. Me priver d’un exercice bénéfique à ma santé mentale, renoncer à cette façon de mémoires du temps, tout cela s’avérait au-dessus de mes forces et c’est malicieusement que j’ai continué… » Décapant ! Réjouissant !